La vie devient de plus en plus difficile. On ne trouve plus à manger dans Paris. Tous les légumes sont gelés, la viande rare.

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Enfin du charbon nous arrive des Dreux !

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Grâce à nos bûches nous réussissons à avoir 10°C dans la salle à manger où nous nous réunissons.

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Quel horrible froid ! Nous ne pouvons plus allumer de feu car nous n’avons plus de charbon… un vieux bonhomme vient nous scier 7 bûches .

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Nous sommes réveillées cette nuit par l’arrivée de Bertrand. On sonne à minuit… Il a vu la tombe à Dugny à l’ambulance.

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Gertrude (allemande) vient demander l’hospitalité… Espérons que ce n’est pas une espionne. Nous la gardons quelques jours.

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La foule patriote vient au pont des Coquetiers pour voir passer les trains de blessés qui ralentissent et on leur donne des bouteilles de vin, des pots de limonade, des fruits.

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Arrivée des Toulemonde aux Confins.

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Pose du gaz dans la maison. Cela rend la maison bien confortable.

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(à cette époque notre grand-mère Hélène va louer les Confins à ses cousins Edouard Toulemonde, évacués du Nord, pour 100 frs par mois. Le fils Joseph est déjà avec elle et il est insupportable.)   Edouard va faire mettre le gaz aux Confins.

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