Nous allons payer la feuille permettant à Néné de passer son examen de philosophie. C’est 90 francs. Ce bureau de la Sorbonne se trouve dans une vieille maison du quai St Augustin. On y fait queue tant il y a des étudiants voulant passer leurs examens.

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Le Père Delfortrie m’a blessée sans le vouloir. Il me demande ce que je vais faire de Bellotte, si je ne vais pas songer à lui faire tirer partie de son talent en piano, elle s’est assez dévouée à ses parents et il est temps qu’elle songe à elle.

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Bellotte manifeste son désir d’indépendance.

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Bellotte me tourmente beaucoup car depuis notre retour à Paris elle ne cesse de tousser, elle a mauvaise mine et mange à peine.

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Hélène reparle de ses petits agendas de 1906 et 1907, l’année terrible de sa maladie.

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J’ai fait un rêve délicieux ! J’ai revu mon bon René et je me figure que c’est presque une vision de l’au-delà ! Ce n’était pas un rêve banal où la vie continue comme avant sa mort, non, j’avais la sensation bien nette qu’il m’avait quitté et que je le revoyais soudain et il me semblait que je me réveillais et que je le sentais dans mes bras. J’étais couchée et lui, assis dans le lit à côté de moi. […]

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Départ à Villemomble pour les vacances de Pâques avec Néné et Bellotte.

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Dans l’hiver 1914 et au printemps Bellotte tousse beaucoup.

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Visite au cimetière de Montparnasse, sur la tombe des parents de René. Nous n’avons pas trouvé le tombeau des de Bure, où il n’y avait qu’un corps.

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Première visite au cimetière de Vaugirard, humide et froid.

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